Bombardement sans mal

9 février 1915 Par Albert Vigon 0

Lettres Adèle 1er et 3 février.

Temps splendide, on se croirait au printemps. Malgré qu’il n’y ait que 2° au dessus de zéro on ne sent pas le froid.
Cet après-midi, bombardement sans mal, un obus éclate derrière la case où nous sommes avec Roques.
Hier après-midi, une patrouille conduite par le lieutenant Berut a eu le lieutenant blessé, 3 soldats blessés et un autre disparu. Celui-ci ayant été laissé sur le terrain n’a pu être retrouvé malgré que plusieurs patrouilles soient parties à sa recherche toute la nuit.

Écrit Adèle.

Bombardement sans mal

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