La vie sur le front : la popote
12 février 1915
Par
Albert Vigon
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Rien de neuf depuis ce matin. Les Boches ont été très sages, ils ne nous ont envoyés que quelques « commis voyageurs ». Il tombe toujours des papillons blancs. À quand le bonheur de revoir le beau soleil de Nice ! !
Attendons toujours, et ne nous faisons pas de bile.
Encore un bécot… ça fera mille et un avec ceux de l’autre carte.
Ton Albert
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