Nous repartons pour nos terriers des Hautes-Charrières
14 novembre 1914
Par
Albert Vigon
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Reçu paquet poste Adèle. Tabac, poires, guêtres, chocolat etc… Avec tout cela, j’ai de quoi faire encore un long séjour dans les bois mais l’embêtant est que mon sac et ma musette sont d’un poids !
À 2 heures nous partons pour réoccuper nos terriers de Hautes-Charrières. Sommes surpris en route par la grêle et un froid glacial. Arrivons en place à 8 heures après station fatiguante de 2 h dans les bois